Jardins d'amour

Voguant l’âme vide entre deux stèle
Mon regard se perd dans la pénombre
Couché sur une dalle de marbre glacé
Seul l’astre lunaire présent à mes cotés
Laissant fuir une silhouette si sombre
Vêtu d’une robe d étoile la nuit est si belle

Se pointe vers les cieux ce triste calvaire
Emblème de souffrance et de délivrance
Je me laisse enlever en cet univers funèbre
Alliance momentanée avec les ténèbres
Plus aucun repère, mon esprit est en transe
Laissant le mystère s’échapper de sous terre...
Draguen